
L’ABBAYE DU MONT DES CATS | Godewaersvelde
Fondée en 1826, l’ abbaye Sainte-Marie située sur le Mont Des Cats est devenue un centre spirituel et un label gourmand reconnu
Fondée en 1826, l’ abbaye Sainte-Marie située sur le Mont Des Cats est devenue un centre spirituel et un label gourmand reconnu
De la rencontre entre l’Art Déco et le Front populaire, naît des édifices hors normes. Des édifices qui témoignent aujourd’hui encore d’une approche sociale qui rêvait grand. L’architecture de la piscine Art Déco de Bruay-la-Buissière est à l’image d’une époque, mais aussi d’une grammaire politique et économique où tout fait sens…
Il existe des endroits comme ici, bien cachés au cœur d’une ville, qui créent une petite bulle hors du temps. Une petite bulle exquise qui mérite à elle seule une escapade à Tourcoing. Tourcoing, la méconnue, qui a tout pour surprendre, à commencer par ce magnifique Hospice d’Havré…
La région Nord, Pas-de-Calais et la Belgique proche, témoignent encore aujourd’hui d’une pratique ancienne des arbres, chapelles et calvaires à loques. Cette tradition des loques si particulière dans son expression consiste à accrocher un objet, ou un morceau de tissus, une « loque » en somme, en échange d’un vœu ou d’une demande de guérison.
Les boute-roues sont des blocs en pierre ou en fer que l’on voit aux pieds des portes cochères, d’un pont, d’un édifice, d’une rue, souvent étroite. Ce petit patrimoine méconnu fait partie du visage de nos rues d’autrefois. Regardez bien… certains sont très insolites…
Nous poursuivons la découverte des trésors de l’architecture lilloise par la maison Coilliot. Un magnifique exemple d’Art nouveau, signé Hector Guimard, l’architecte des emblématiques bouches de stations de métro parisiennes. Tout comme l’Huîtrière dans le Vieux-Lille, elle est conçue pour être une véritable façade publicitaire…
Dans l’Avesnois, on prise un kiosque en particulier… Le kiosque à danser. Une curiosité et une spécificité qu’on voit encore sur quelques places de villages. Non seulement vous ne verrez nulle part ailleurs mais en partant à leur découverte, vous traversez le magnifique paysage de Sambre-Avesnois…
Il y a toujours ce mouvement d’arrêt, surpris, lorsqu’on débouche sur la petite place du Théâtre. Il est là, immense, imposant, rectiligne et pourtant d’une élégance incroyable. Le rang Beauregard est à lui seul un condensé de l’esprit lillois. Flamand par ses chérubins potelés et ses guirlandes de fruits. Français par cette verticalité classique. Résistant par ses célèbres boulets encastrés dans les pourtours des fenêtres.
Rares sont les petites places qui concentrent autant de grands monuments et autant d’architectures aussi différentes. Rares sont les architectes comme Louis-Marie Cordonnier (1854-1940), qui auront bâti côte à côte deux styles aussi opposés : la nouvelle Chambre de Commerce et l’Opéra de Lille…
La plaine qui s’étend aux pieds de Mons-en-Pévèle est marquée par le souvenir d’une des grandes batailles de l’histoire de France. Le mardi 18 août 1304, le combat s’engage entre l’armée de Philippe le Bel et les troupes flamandes retranchées sur les hauteurs du village…
La bataille de Vimy est plus qu’un exploit, plus qu’une victoire. Elle témoigne de l’extraordinaire ingénierie militaire mis en place par les forces alliées lors de la première guerre mondiale. En foulant aujourd’hui le théâtre des combats, on mesure toute la folie et la grandeur de l’entreprise.
Une des curiosité du Pays d’Artois, et en grande partie sur l’Atrébatie est sans aucun doute ces curieux clochers de pierre décorés de flèches sculptées. On recense pas moins de sept églises à flèche à crochets dans un rayon proche.
Nous poursuivons avec les sympathiques décrottoirs, l’exploration de ces petits patrimoines méconnus et insolites des rues qui échappent souvent à notre attention. En effet, leur présence, nous parle toujours d’un » temps d’avant » qui résiste à l’oubli…
A l’angle du cimetière de Mons-en-Pévèle, cette petite portion de rue encore pavée a gardé tout le charme des rues d’autrefois telles qu’on pouvait les voir sur les cartes postales d’ époque. Un parfum que les promeneurs et les cyclistes apprécieront, mais peut être pas pour les mêmes raisons… En effet, tous les amoureux de la célèbre course cycliste Paris-Roubaix connaissent le secteur pavé de Mons-en-Pévèle…
S’il y a bien un sujet qui divise les historiens et les passionnés d’architecture, ce sont ces fameux dessins et ornements sur les façades de nos maisons, châteaux, remparts, églises… Pour certains ce sont des signes protecteurs, issus en partie des runes, l’alphabet nordique, pour d’autres de simples décorations. Partons à leur découverte, notamment en Flandre et à Lille, et faites-vous votre propre opinion…
Bouvines est entré dans l’Histoire comme tous les grands théâtres de batailles : par le bruit et la fureur des armes. Ce village si tranquille, à quelques kilomètres de Lille, restera à jamais lié à un moment clé de l’Histoire de France : La victoire de Philippe II, dit Philippe Auguste, roi de France, sur une coalition emmenée par l’empereur allemand Otton IV. Au final, près de 30 000 hommes, et peut-être davantage, s’élanceront dans la plaine.
Le général de Gaulle n’inspire pas que les romanciers, les historiens, les réalisateurs, il est devenu le personnage fétiche d’un jeune street artist de la métropole. Vous n’avez pas pu passer à côté de ces visages haut en couleur, collés un peu partout sur les murs de Lille : en pochoir, toile, sticker, carton découpé… En hauteur sur les façades, les gouttières, derrière des panneaux de signalisation
Juste avant l’entrée du zoo de Lille, un arbre au sol, ciselé, sculpté, insolite, passe souvent inaperçu. Et pourtant, l’œuvre signée Christophe Cardon est magnifique. Son histoire aussi.
Les fontaines Wallace parleront certainement aux amoureux et piétons de Paris… Mais savez vous que nous en possédons une à Lille, place de Béthune, et à une à Dunkerque, place du Palais de Justice ? A la fois mobilier urbain et objet d’art, elles ont été imaginé et financé pour une cinquantaine d’entre elles par un certain Richard Wallace.
Pourquoi parler des burgets, ces entrées de caves, qui donnent sur la rue? Parce qu’ils évoquent à la fois le charme des rues pavées et les profonds changements d’une société et de ses villes à l’heure industrielle.